Mon panier

La mondialisation n'est pas coupable : vertus et limites du libre-échange Vertus et limites du libre-échange

Éditeur
La découverte
Format
Livre Broché
Collection
La Découverte poche, Essais
Catégorie
Economie
Langue
Français
Parution
01 - 2000
Nombre de pages
224
EAN
9782707131133
Dimensions
130 × 200 × 10 mm
CHF 18.30
2 à 3 semaines
Ajouter au panier

Résumé du livre

On attribue souvent à la mondialisation des échanges une bonne partie des maux économiques et sociaux qui frappent nos sociétés. La concurrence entre pays développés est perçue comme une lutte sans merci où les moins dynamiques risquent d'être définitivement éliminés de la course. La désindustrialisation du Nord est attribuée à la concurrence irrésistible du Sud. Au nom de la «compétitivité» de l'économie nationale, on prône les recettes économiques les plus contradictoires, du protectionnisme à la dérégulation totale.

Le livre de Paul R. Krugman - qui a trouvé un large public en France après sa première publication en 1998 - balaie de façon extrêmement convaincante ces clichés trop répandus, à droite comme à gauche. L'économie mondiale est un système complexe de relations à effets rétroactifs, pas un enchaînement de causes mécaniques à sens unique. Convaincu qu'on peut simplement parler d'économie sans trahir cette complexité, Paul Krugman s'est donné comme défi d'accomplir pour les arcanes du libre-échange ce que Stephen Jay Gould a réalisé pour les mystères de l'évolution. La limpidité de ses essais et le succès qu'ils ont obtenu aux Etats-Unis, témoignent de la réussite de son ambition.

«Avec verve et intelligence, Paul R. Krugman tord le cou à nombre de notions sur la mondialisation et le commerce mondial émises par les plus fameux économistes.»

Le Monde des Livres

«Un livre iconoclaste, à lire absolument [...]. Dans ce livre ravageur des lieux communs, l'un des plus grands économistes américains lance une campagne contre la thèse selon laquelle la mondialisation de l'économie serait une guerre entre nations.»

Jacques Attali, L'Express

«Enseignant à Stanford, cet économiste pourrait bien rafler un jour le Nobel. Il tente ici de démontrer que chômage et inégalités ne sont pas imputables à la concurrence du tiers monde mais au jeu des taux d'intérêt et au progrès technique. Convaincant.»

Capital